J’avance doucement jusqu’au bord de la falaise. A quelques mètres du bord, là où j’entends les vagues s’écraser contre la paroi abrupte en contrebas, je m’arrête pour prendre une grande inspiration. L’air iodé emplit mes poumons, tandis que les mouettes tournoient au-dessus de la mer déchaînée en poussant leurs cris éraillés.